Publié dans Economie

Foire internationale de Madagascar - Déjà 25 000 visiteurs sur la plateforme eFIM

Publié le mercredi, 16 juin 2021


Pari réussi pour les organisateurs. Un mois après son lancement, l’eFIM, la version en ligne de la Foire internationale de Madagascar (FIM) enregistre déjà plus de 25 000 visiteurs issus des quatre coins du globe. « En effet, grâce à la nouvelle technologie, nous pouvons aujourd’hui établir une cartographie des visiteurs internationaux de notre plateforme. Nous savons que des acteurs économiques de l’Allemagne, du Canada, des Comores, de Maurice ou encore de Dubaï et de Singapour sont passés par l’eFIM. En tout, une quinzaine de pays sont concernés. Une prouesse absolument inédite et inégalée par n’importe quel événement économique à Madagascar et dans la région indianocéanique », se réjouit Michel D. Ramiaramanana, président du comité d’organisation de la FIM, en dressant un bilan provisoire de l’eFIM.
Cet intérêt porté à l’égard de la plateforme de la FIM l’a ainsi poussé à élargir ses horizons et à devenir une plateforme multilingue. Pour conforter la structure et le positionnement international de l’eFIM, la plateforme numérique et traduite en huit langues à savoir l’Allemand, l’Anglais, le Chinois, l’Espagnol, le Français, l’Italien, le Malagasy, le Portugais, proposant ainsi des perspectives et des ouvertures sur de nombreux marchés. Cet engouement des visiteurs contribue ainsi à l’objectif de « Madagascar ouvert au monde ». « De plus, la tendance exportatrice reste le fondement d’une économie de l’émergence, tout en favorisant le maintien voire le renforcement de l’ariary face aux devises étrangères », rajoute ce responsable.
Rétablir la balance du commerce extérieur en faveur de Madagascar reste actuellement un objectif macroéconomique à atteindre.
Rova Randria

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Editorial

  • Conscience éthique
    Perle rare. Trésor caché. L’homme est toujours à la recherche d’objet rare, invisible ou caché. Seuls les fortunés de ce monde sont capables, quel que soit le coût, de s’acquérir de ces objets d’art ou de culture rares voire rarissimes. La droiture, la probité, l’intégrité et l’honnêteté font partie de ces « objets rares » que l’homme cherche désespérément à acquérir. Madagasikara figure parmi nombre de pays qui ambitionnent formellement à dompter la corruption en particulier, et l’impunité en général. A ce titre, le pays dispose d’un ensemble de dispositifs de lois soutenus par une armada d’entités de lutte, allant du Comité de la Sauvegarde de l’Intégrité (CSI) au Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO), Parquet Anti-corruption (PAC) en passant par le « Sampan-draharaha malagasy miady amin’ny famotsiam-bola » (SAMIFIN) à l’Agence de recouvrement des Avoirs illicites (ARAI), etc. Le tout sous la bannière d’une Nouvelle stratégie de lutte contre la corruption…

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